Si dans des contrées lointaines, un jour tu te perds,
Sache que Je serai près de toi.
Si un jour tu décidai de t'en aller
Visiter d'autres destinées,
S'il te prend un jour d'envoyer tout balader,
Sache que Je serai près de toi.
Je te soutiendrai, Je te réchaufferai,
Je te confinerai dans Mes bras chauds et aimé(e),
De toute Ma patience, Je t'entourerai,
Pour que jamais tu ne puisses un jour penser
Que Je pourrais être capable de t'oublier.
Quand la chair de Ma chair passera en ton sang,
Quand les effluves de Mon amour arriveront jusqu'à toi,
Quand tu n'auras plus vraiment le choix
Que de t'y abandonner à cent pour cent,
Alors ce jour tu comprendras
Que pas un seul jour ne s'est terminé sans
Que tu ne fusses entouré de Mon vent
D'Amour, de tendresse et de Lumière.
On ne devrait pas comparer.
Peut-être même que ce mot devrait être supprimé du vocabulaire ou alors
uniquement réduit aux choses, aux objets, et ne plus être utilisé pour des
personnes ou des situations. C’est bizarre ce réflexe immanquable de l’humain à toujours vouloir tout
comparer. Comparer les gens ou les situations revient à supprimer tout le plan
émotionnel qui en émane ; à réduire une personne à un corps ou à des faits
en supprimant toute base émotionnelle qui construit pourtant le tout. Ce tout qui fait de nous des êtres rares et dotés d’intelligence, est justement
cette capacité à ressentir des émotions.
Perdons au moins cette basse facilité à nous comparer entre nous et
regardons nous plutôt avec amour.
Amandine

"
La foi ne se
quantifie ni se qualifie. Elle se ressent
profondément, intrinsèquement et intimement.
Elle est propre à chacun." Amandine

Qu'il manque bien d'humilité, celui qui dit qu'à votre place, il l'aurait fait.
Comment pourrait-on dire, se mettre à votre place alors que chacun est si différent ?
Qu'il manque bien d'humilité celui qui clame si fort que vous manquez de persévérance, de confiance, de foi ou que sais-je encore ?
Qu'il souffre tant d'égo qui lui bouche la vue, croyant que par lui-même et à lui-même se résume toute la vérité.
Sa vérité oui. Mais ce n'est pas la votre, ce n'est que sa vérité dépourvue, déshabillée de la votre.
Comment peut-on à ce point souffrir d'une telle vanité ?
Comment peut-on inculquer à autrui la sentence de : "Tu as mal fait… Si j'avais été à ta place…"
Et non ! Parce que jamais au grand jamais, nous ne pourrons endosser tous les paramètres de l'Autre dans Son Univers complet.
Lorsque nous nous plaçons dans un état d'écoute bienveillante, jamais au grand jamais, nous ne devrions faire souffrir ses mots à l'Autre.
Parce que nous ne sommes pas justement.
A la rencontre de l'âme
Nous sommes notre premier choix 💓
Contact au 07.68.69.04.77
Mail : soufflesdanges(arobase)gmail.com
Amandine PAUTET
Thérapeute de l'âme
Médium - Guérisseuse - Coupeuse de feu
Facebook : Souffles d'Anges